Malgré que mon travail* est très important, j’ai pas tous les jours l’occasion de tomber sur des secrets d’état.
Il y a des choses, dit-on, qu’il vaut mieux ne pas savoir.
Et puis aujourd’hui au bureau, voilà que je me suis retrouvé mêlé à une histoire potentiellement internationale qui pourrait à terme menacer ma sécurité et celle de ma famille proche.
J’ai en effet découvert où étaient planquées les agrafes.
*Cette formule que d’aucuns trouveront maladroite est un hommage à Philippe Djian, qui l’adore.