Tuesday, March 10, 2009

Staples Center


Malgré que mon travail* est très important, j’ai pas tous les jours l’occasion de tomber sur des secrets d’état.

Il y a des choses, dit-on, qu’il vaut mieux ne pas savoir.

Et puis aujourd’hui au bureau, voilà que je me suis retrouvé mêlé à une histoire potentiellement internationale qui pourrait à terme menacer ma sécurité et celle de ma famille proche.

J’ai en effet découvert où étaient planquées les agrafes.

*Cette formule que d’aucuns trouveront maladroite est un hommage à Philippe Djian, qui l’adore.

2 comments:

Anonymous said...

T'es pas un champion pour rien Major, et dire que je travaillais sur la filière colombienne depuis un moment...encore une fausse-piste.

Don J. said...

L'agrafeuse t'a rattrapé?